Nos âmes dans l'uni-vers... Au bord d'un coucher
Nos âmes dans l'uni-vers...
Au bord d'un coucher de soleil, je pense à ces départs
Vers les arc en ciel de la voie lactée aux teintes dorées
Où les étincelles guident et brillent comme des phares
Pendant que le ciel immense porte une lune émerveillée
Tandis que l’ombre recouvre l'herbe des forêts
les voluptes du silence s'égrènent dans leur chute
Les chandelles éclairent les dentelles au sable effacé
Sur un cadran embrumé par un silence qui lutte.
Plonger dans mes eaux profondes et infinies
Sous cette aurore percevoir ta lumière glisser divinement
Sous le pont de nos jardins secrets au roman indécis
qui se lit, qui relie tous les saisons de mes sentiments.
A la lueur de mon imaginaire, à l'appel de ce jour,
à la lueur d'une bougie, à mon coeur déraisonné
je pense à ce feu qui maintient mon diamant chaque jour
Dans ma terre achimique où ma nuit s’était couchée.
Alors, mes mains se mèlent à mes rêves incandescents
Mon âme dessine des forêts sur mes envies abrasives
Tu es un poeme qui vibre sous un ciel immortel et ardent,
Un oiseau coloré dans une forêt où je plonge fugitive.
Et je m'évade pour te re-connaitre dans chaque essence
Touchée par la fournaise de mon âme soeur, immense
Et l’horizon souligne de son regard azur ton coeur intense
Quand l'univers entier dévoile notre résonance...
Mlle-aile Carpe Diem